
S’appuyant sur les plongées de robots menées entre 2015 et 2017 par les instituts océanographiques américains NOAA et Schmidt Ocean, les chercheurs ont établi qu’aucune zone, même profonde ou protégée, n’était épargnée.
Des débris de métal, de verre, de plastique, de caoutchouc, de tissu… ont été rencontrés jusqu’à 6 000 mètres de profondeur.
Au large des îles Samoa, les densités de débris ont atteint 196 à 1 961 objets par kilomètre carré !
Une situation alarmante d’autant plus que la dégradation de ces déchets peut prendre des centaines à des milliers d’années.