Lors de précédentes recherches, les ingénieurs s’étaient inspirés du guépard mais la colonne vertébrale interne rigide du robot limitait la souplesse de ses mouvements.
L’équipe a donc opté pour la méduse, un animal planctonique très souple !
Pour le rendre encore plus souple et rapide, les chercheurs ont utilisé 2 couches liées du même polymère élastique (l’une étirée et l’autre contenant un canal d’air).
Lors des tests, la vitesse moyenne du robot-méduse était de 53,3 millimètres par seconde.
Pour découvrir cette recherche, cliquez sur le lien : https://doi.org/10.1002/admt.202000370