Grâce à une étude menée par l’Ifremer, Sorbonne Université et le CNRS, « un inventaire sans précédent de la biodiversité vivant près des sources hydrothermales dans le Sud-Ouest du Pacifique » a pu être dressé.
Les résultats de cet étude ont été publiés dans la revue Science of the Total Environment, et montrent que « les espèces vivant autour des sources hydrothermales occupent des aires de distribution bien plus restreintes qu’on ne le pensait auparavant ». L’exploitation minière de ces espaces très convoités par l’industrie pourrait signer la disparition de nombreuses espèces rattachées à des zones uniques.
Plus d’une centaine d’espèces hydrothermales ont été recensées. Cela constitue « le premier travail d’une telle ampleur dans la région Sud-Ouest du Pacifique, encore mal connue. »